Laisser une emprunte visuelle, une signature est l’apanage des grands photographes. On identifie de suite une image par le style de la photo. Une caractéristique commune à chacune de ses images. Ainsi on reconnait de suite une image produite par Ansel Adams avec sa gestion particulière des ombres avec son système de « zoning » pendant le développement. C’est aussi le cas de portraitiste de Martin Schoeller qui applique toujours la même pose avec le même système d’éclairage durant une prise de vue.
Lightroom offre la possibilité d’enregistrer un réglage particulier pour affecter toute l’image. Différents curseurs sont disponibles comme l’exposition, la température de couleur, la teinte, les zone de hautes lumières, les ombres, le point blanc, le point noir, la vibrante, la saturation, la clarté, la texture, la correction du voile etc. Cet enregistrement est appelé un « preset ». Ils sont souvent payants quelque fois gratuit. Je pense qu’il vaut mieux comprendre ce l’on applique pour ajuster le réglage fonction d’une image qui est toujours unique. Les réglages locaux seront de tout façon à réaliseren fonction de l’image à traiter.
L’objectif de cet article est de parcourir les principaux styles, d’identifier la recette pour le créer pour servir de base à votre propre interprétation. Constituer un ensemble d’enregistrements pour les appliquer rapidement à votre image sera le point de départ de chaque traitement d’image. Il est important de partir d’une image la plus neutre possible. C’est donc la première recommandation à donner: préserver tous les tons avec une balance de blancs neutre.
Noir et blanc contrasté
Les principales étapes de développement à réaliser dans Lightroom sont les suivantes:
- convertir en N&B
- augmenter la clarté à +30
- assombrir les zones sombres (courbe en S)
- éclaircir les zones claires (courbe en S)
cinéma
- désaturer les couleurs
- calibration des couleurs: augmenter la saturation des verts +30
- augmenter le grain +40
- courbe des tons – remonter le point noir en préservant les ombres – le point le plus noir devient gris
- split toning : ramener du bleu dans les ombres
- split toning : ramener du orange dans les parties lumineuses
complémentaire
- Pré-requis, deux couleurs complémentaires doivent apparaîtras clairement dans votre image. Dénaturer toutes les autres.
- HSL – Jouer avec le curseur saturation de chaque couleur complémentaire
- HSL – Jouer avec le curseur luminosité de chaque couleur complémentaire
- réajuster les tons couleur peau si touché par le réglage
analogue
- Pré-requis, les couleurs analogues (présentes sur un seul secteur de la roue chromatique) doivent apparaîtras clairement dans votre image. Dénaturer toutes les autres.
- HSL – Jouer avec le curseur saturation de chaque couleur complémentaire
- HSL – Jouer avec le curseur luminosité de chaque couleur complémentaire
- réajuster les tons couleur peau si touché par le réglage
désaturé
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sur désaturé
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isoler par focus
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références
Ansel Adams, Edward Weston, Martin Schoeller, Jason Peterson